Non, elle ne change pas après la naissance, ce qui change est le nombre de stresseurs.

Les personnes avec des TMG n'ont pas plus de stresseurs quotidiens que la moyenne, mais sont plutôt de plus grande vulnérabilité : alors que la moyenne passe au-travers, les TMG accumulent et déclenchement des symptômes.

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Vulnérabilité psychobilogique :

Diathèse génétique (qqn Sz dans famille)

Complications obstétriques

Anomalies neuro-développementales, neurophysiologiques

Limites neurocognitives

Stresseurs socio-environnementaux :

Traumas

EE

Ennuis quotidiens : + grande vulnérabilité

Vie urbaine

Drogues

Racisme

Stigma

Modèle qui explique les facteurs de risque, liés aux vulnérabilités psychobiologiques et aux stresseurs; explique aussi pourquoi les personnes ont une rechute (Ex : Sz vit stigma sur son trouble = stresseur socio-env.).  Depuis 1977, Luven & spring ont découvert que les TMG ne sont pas simplement issus d'une mauvaise relation mère-enfant, et pas seulement une maladie du cerveau :

interaction entre 1) vul. bio et 2) stresseurs

Rechute symptômatique et déficits : les déficits peuvent être 1) sociaux (isolement social; ne sait pas comment intéragir avec les autres) et 2) au niveau des habiletés de vie autonome (budget, emploi, c.v.) etc...

Rémission symptômatique et rétablissement (...)

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Si on montre à la personne à combattre ses stresseurs (fx de protection) on peut l'Emmener vers une rémission + rétablissement.

Liée au fonctionnement optimal sans l'apparence de symptômes aigüs.

Terme médical : la personne fonctionne de manière optimale sans symptômes

adapté aux TMG

La personne fonctionne sans symptômes aigüs.  Il n'y a pas d'absence de symptômes (sinon on excluerait tout le monde ou presque), mais une absence de symptômes aigüs.

BPRS : pour qu'une personne soit en rémission, il faudrait qu'aux 8 items 8, 11, 15 (..) 7,16 la personne ait un score de 3 ou moins pendant 6 mois.

 -> 6 mois

 -> symptômes considérés non sévères

(1) LE rétablissement est un processus personnel, qui n'implique PAS une absence de symptômes.

(2) Processus par lequel une personne se reconstruit au niveau personnel, social, environnemental et spirituel.  Processus par lequel l'individu rajuste ses sentiments, attitudes, perceptions et buts dans la vie, dans un contexte de découverte personnelle, de renouveau et de transformation.

Volonté de comprendre ce qu'on vit, volonter de s'aider.

(3) Complexe et multidimensionnel, implique des liens entre :

- les symptômes

- le concept de soi

- le fonctionnement social

(une personne très symptômatique ne pourra pas être très loin dans son raisonnement, car il est difficile de se rétablir lorsqu'on entend des voix)

1. travail

2. logement

3. RI

4. Éducation

Ces buts sont tous importants pour l'intégration dans la société et pour le maintenir un fonctionnement social considéré comme acceptable.

Le rétablissement n'est pas l'absence de symptôme.  Important afin de mieux comprendre le changement dans les valeurs en réadaptation vers des interventions basées sur les données probabntes qui ciblent des changements liés au stade du rétablissement (spiritualité et religion très important pour TMG)

BUT : protéger les personnes des situations quand le stress arrive

1. Habiletés sociales et compétence

2. Soutient familial et social

3. Stratégies adaptatives et estime de soi

4. Gestion du stress

5. Médication

Ces facteurs ne vont pas nécessairement tous ensemble, mais ils se complètent.  On voit avec la personne lesquelles vont plus la protéger.

Malgré ce qu'en disent les gens, ce n'Est pas vrai qu'il n'y a rien à faire et la médication sert juste à traiter une partie du problème : n'aide pas à prévenir la rechute.  Il est possible d'enseigner les signes de rechute et d'avoir un contrôle sur les facteurs de protection.

Les habiletés de communication, capacité de demander de l'information ou de l'aide, et de pouvoir se créer des liens d'amitié.

A) Selon Dickinson et al. : les déficits au niveau des habiletés sociales et de communication prédisent le fonctionnement (vocationnel) de la personne, de manière indépendante des déficits cognitifs.

B) selon Pinkharm et Penn : les déficits interpersonnels seraient ligés à des déficits de 'cognition sociale' et non de neurocogition.

C) Les difficultés de communication et un niveau faible d'habiletés sociales sont liées à :

- plus d'isolement

- moins de demande d'aide lorsque ça ne va pas

- anxiété sociale

- réseau social plus restreints

DONC DÉVELOPPER DE MEILLEURES HABILETÉS SOCIALES = fx de protection!

Le fonctionnement social (-) prémorbide prédit le fonctionnement social (-) et les symptômes négatifs 1 an suite à la première hospitalisation.

La personne qui a des déficits sociaux arrive souvent avec des déficits avant la crise.

- Le soutien familial modère l'impact négatif du stigma

- peut avoir un impact sur le taux de rechute et d'hospitalisation

Coping et gestion de stress

définition

(1) Le coping actif : tâche action, notre employeur nous met à la porte et on téléphone, on fai tune entrevue, etc.

(2) Le coping passif (ou évitant) : gérer les émotions, respirer, relaxer...coping émotionnel.

LEs TMF qui ont plus de stratégies actives auront plus de chance de s'en sortir.  De façon naturelle, par exemple, les personnes font du coping négatif.

Vivre de la détresse émotionnelle

Avoir un sentiment d'Efficacité personnel

Avoir un bon soutient social

=

prédit l'utilisation de stratégies de coping spécifiques à différents stades de la maladie. 

Plus les personnes auront de stratégies d'Adaptation, meilleure eles sront pour gérer leur stress. Il n'y a pas une stratégie plus adaptée, cela dépend du contexte.

Estime de soi

définition

1- le fonctionnement social

2- la qualité de vie

3- la dépression

3- les symptômes psychotiques

+ Plusieurs études suggèrent une estime de soi plus faible chez les Sz et Dép. que dans les autres troubles ou la population générale.

+ De nouvelles données suggèrent davantage une instabilité de l'estime de soi en lien avec la paranoïa.

La personne répond moins bien à la médication et parfois, de nouveaux symptômes apparaissent, de nouveaux effets secondaires peuvent aussi apparaître.

La médication est-elle suivie?

50% des personnes souffrant de psychose cesse leur médicaiton dans la 1ere année de traitement et ceux qui suivent le traitement prennent en moyenne 58% de la dose (mais la dose est spéficique au train de vie de la personne).

1. Diminution ou arrêt de médication

2. Modification de ou mauvaises habitudes de vie

3. Stress important (la médication est importante, mais pas assez pour gérer le stress)